Airbus a écrit :Les 2S ou 3S sont des télécabines. Il n'y a pas de "téléphérique " débrayable.
Linkinito a écrit :
Pour Francheville-Taffignon, l'hypothèse la plus plausible serait le coin nord-est du carrefour du Chater, près de Botanic et Espace Montagne. La place est suffisante pour implanter une station sans causer trop de problèmes. Le principal grief que je ferais à cet emplacement serait principalement la correspondance difficile avec les lignes de bus, car il faudrait retraverser la route à moins de réaliser des aménagements piétons. Une autre hypothèse serait plausible, la station pourrait être implantée à l'est du parking du centre commercial Carrefour. Correspondance immédiate avec les bus, mais un accord avec le centre devra être trouvé. Altitude au sol : 195 mètres (environ).
Le petit problème de cet espace au croisement Avenue du Châter / Chemin des Razes c’est qu’il est occupé par un bassin de rétention d’eau. Je suppose qu’on peut facilement le supprimer mais pour le mettre où ?
L’annonce a fait l’effet d’une bombe avant Noël. Dans le plan de mandat dévoilé par le Sytral, il est prévu, pour fin 2025, la réalisation et aussi la mise en service de la première ligne de « transport par câble » dans la Métropole de Lyon, plus précisément avec 7 ou 8 stations entre Francheville et Lyon en passant par Sainte-Foy-lès-Lyon. Un projet de téléphérique qui soulève de nombreuses questions. Et déjà de vives passions. Quid des expropriations ? Des servitudes de survol ? Du bruit ? Du rapport coût/ voyageurs transportés ? Nous avons interrogé les acteurs locaux de l’ouest lyonnais. Qui sont très partagés. Analyse et décryptage.
Ah, les fameux débats autour de la mobilité dans l’ouest lyonnais. Des débats que les moins de 20 ans ne peuvent pas tous connaître « tant notre relief présente des avantages mais aussi des inconvénients », dixit le maire de Francheville, Michel Rantonnet. Sur la colline de l’ouest, des territoires accidentés mais aucun métro en 2020. Aucun tram non plus, relief oblige. Mais bientôt un téléphérique, ou un « transport par câble » selon le Sytral. Le Sytral (Syndicat Mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise) est l'autorité organisatrice des transports en commun du Rhône. Bientôt, oui. Dès 2025. Avec donc une mise en service du téléphérique dans moins de 5 ans. « On nous annonce une livraison pour 2025 d’un projet pour lequel moi je n’ai pas été consultée, ni les habitants, s’étonne Véronique Sarselli, la maire de Sainte-Foy-lès-Lyon. On nous le présente comme une décision définitive. C’est surprenant ».
Selon le Sytral, 20 à 25 000 voyageurs/jour sont attendus. Une étude réalisée en 2019 n’offrait pas de garanties de fréquentation aussi importante. Loin de là (autour de 4000, voire plus loin). De nombreuses autres questions se posent, interrogent habitants comme élus locaux. Comme les contraintes d’insertions, le bruit, le tracé précis, les expropriations, les 42 immenses pylônes (de près de 50 mètres de haut) pour assurer la tenue de l’édifice, le coût par rapport au nombre de voyageurs transportés…
Quel est l’objectif du téléphérique ?
Selon le Sytral, dirigé depuis le mois de septembre 2020 par l’écologiste Bruno Bernard, également président de la Métropole de Lyon, ce projet a pour but de permettre « une nouvelle offre de mobilité permettant le franchissement de coupures urbaines majeures et offrir un gain de temps considérable » et de « diminuer la part de la voiture individuelle qui représente encore près de 60 % des déplacements dans cette zone géographique ». « Cette infrastructure permettra de relier Gerland à Francheville en une vingtaine de minutes contre cinquante en voiture », soutient le Sytral, ajoutant que « la technicité de mise en œuvre dans la construction des cabines sera adaptée au milieu urbain ». Une concertation débutera en 2021 pour retenir le tracté optimal pour les « 20 000 à 25 000 voyageurs quotidiens attendus à la mise en service », dixit le Sytral.
Quels sont les tracés étudiés ?
Plusieurs tracés sont étudiés, notamment pour la traversée, controversée – on y reviendra – de Sainte-Foy-lès-Lyon. Le départ s’effectue au Bourg de Francheville-le-Haut- avec ensuite une halte à la gare de Francheville (au niveau du centre culturel de l’Iris) et ensuite une troisième station à Francheville, à Taffignon, à la limite avec Sainte-Foy. Deux autres stations seront réalisées à Sainte-Foy (possiblement à la mairie de Sainte-Foy et à Croix-Pivort) puis, selon les tracés étudiés, une station à la Mulatière, vers l’Aquarium de Lyon, pour une arrivée à Gerland, dans le 7e arrondissement de Lyon. Avec une « branche » possible du téléphérique de Croix-Pivort, à Sainte-Foy, pour une arrivée à Confluence, dans le 2e arrondissement de Lyon.
Un projet qui divise localement
Michel Rantonnet, le maire LR de Francheville (14 000 habitants), qui siège aussi au Sytral, accueille avec joie ce nouvel édifice. « On est terriblement enclavés. Pour partir de la mairie de Francheville et aller à la Part-Dieu, actuellement, il faut 1h10-1h15 (c'est vrai qu'avec le métro c'est moins de 20 min ). Il faut absolument rejoindre une ligne forte du métro pour désenclaver ces secteurs. Je parle pour Francheville, mais cela concerne aussi Craponne, Chaponost. Francheville est aussi une ville de transit pour tous les véhicules qui descendent des Monts du Lyonnais, l’étalement urbain dépasse maintenant largement la Métropole de Lyon », explique-t-il. Le téléphérique, il est pour. « Je compte sur la solidarité de ma collègue de Sainte-Foy pour que l’intérêt général l’emporte sur les intérêts particuliers qui ne manqueront pas de venir… Sainte-Foy a aussi tout intérêt à ce que les véhicules de transit ne passent plus par la ville », poursuit le premier édile de Francheville.
Car il le sait, Sainte-Foy est beaucoup moins emballée. « Monsieur Bernard m’en avait parlé vaguement (du projet de téléphérique). On n’a jamais eu de réunion ensemble là-dessus. Et là, j’apprends ça à la sortie du comité syndical du Sytral (le 17 décembre 2020) où ont été votées les orientations budgétaires. Et on nous présente ce projet comme définitif, nous explique Véronique Sarselli, la maire LR de Sainte-Foy-lès-Lyon (22 000 habitants). On nous a ensuite proposé un comité de pilotage le lendemain (le vendredi 18 décembre). Je suis assez surprise de la méthode, surtout venant d’une tendance politique qui est pour la coparticipation citoyenne. C’est juste bien quand on est en campagne… ».
La maire de Sainte-Foy-lès-Lyon depuis 2014 poursuit : « Il faut améliorer les déplacements dans l’ouest lyonnais. C’est une réalité. Je ne peux pas contester ça. Et je dirais même dans le grand ouest lyonnais. C’est pour ça qu’on milite pour le métro E. Il faut aussi arriver à s’ouvrir à des modes de transports totalement nouveaux et décarbonés, je n’ai rien à dire là-dessus. C’est logique. Il faut avancer vers çà, vers des transports en commun efficaces et en lien avec la protection de l’environnement. Sur le principe, réfléchissons-y. Mais j’aurais aimé avoir une étude qui me prouve la pertinence du coût par rapport à son efficacité. Et aussi savoir ce qu’on ne fait pas en contrepartie. On voit bien que le projet de métro E est un peu mis de côté. Or, pour désenclaver l’ouest, il nous faut un transport lourd. Le téléphérique, ce n’est pas suffisant ». Sur ce point, Véronique Sarselli est rejointe par son collègue de Francheville.Sans faire ces investissements de mobilité, on compromet le développement économique et urbain de l’ouest lyonnais », souligne Michel Rantonnet. Le métro E, lui, n’est pas dans le plan de mandat 2021-2026.« Je me bats aussi, et toujours, pour le métro E. Le téléphérique ne se substitue pas au métro E, il est complémentaire.
Une fréquentation surévaluée ?
Pour ce projet, le Sytral avance 20 à 25 000 voyageurs attendus pour cette ligne entre Francheville et Lyon. « L’étude qui a été faite sous le précédent mandat (au Sytral) ne nous disait absolument pas ça, elle donnait un chiffre beaucoup plus faible. Je demande au Sytral, à Monsieur Bernard, d’avoir des projections de fréquentation. Pas les capacités maximales. Ce n’est pas du tout la même chose. Et derrière, je demande aussi une vraie étude qui consisterait à demander leurs besoins réels aux habitants », poursuit Madame Sarselli, réélue au 1er tour aux municipales de 2020
Cette étude, elle dit quoi ? Les résultats ont été donnés en décembre 2019 (lire ici). Le Sytral avait commandé une étude autour de différentes hypothèses de téléphériques dans la Métropole de Lyon. « On avait étudié 10 hypothèses », se souvient Fouziya Bouzerda, la présidente du Sytral jusqu’en septembre 2020. Après les études préliminaires, seulement trois des dix hypothèses potentiellement pertinentes avaient été testées de manières plus profondes : Caluire - Industrie - Vaise, Plateau Nord Rillieux - Grand Parc - Grand Montout et enfin… Francheville - Confluence – Gerland.
« La plus pertinente reliait Rillieux à Décines-Meyzieu en passant par le Grand Parc (de Miribel-Jonage) », poursuit Fouziya Bouzerda, qui balaye les projections de fréquentation pour la ligne de Francheville : « Francheville, quand on a fait l’étude, on était sur très peu de personnes. Gerland, c’était environ 4000 voyageurs/jour. Confluence, c’était 2000 voyageurs/jour. Je ne vois pas comment ça aurait pu doubler ou tripler en quelques mois, d’autant que le départ est à Francheville. Il n’y a pas de point de rabattement spécifique, pas de tram, pas de ligne forte. On a des lignes classiques, pas de ligne forte ».
Le coût de l’ouvrage sous-évalué ?
Le Sytral estime le coût de l’édifice Francheville-Lyon à 160 millions d’euros pour livraison en 2025. « L’étude réalisée en 2019 chiffrait la réalisation à 210M d’euros. Avec des contraintes quand même très importantes. Forte densité d’habitations, des survols complexes, un nombre de pylônes considérable. Est-ce que c’est pertinent ? Vous aurez solutionné le transport pour 2 ou 4 000 voyageurs / jour et vous aurez une insertion très complexe. Car la difficulté majeure de cette ligne, au-delà du rapport coût/voyageurs transportés, c’est surtout l’insertion. On est dans une configuration où il faut absolument donner toutes les clés aux habitants. A Sainte-Foy, les difficultés d’insertion vont être importantes », explique l’ancienne présidente du Sytral, Fouziya Bouzerda, désormais présidente du Modem Rhône. Difficultés d’insertion, en gros des cabines qui passent au-dessus des habitations.
Et puis il y a donc la question du coût. Pour ces ouvrages, le coût de la maintenance est à ne pas négliger. Ils tombent (régulièrement) en panne. Comme le montre l’exemple de celui de Brest (lire ici). Les maintenances annuelles, obligatoires, peuvent aussi être assez longues. Sans compter le chiffrage, difficile à estimer, des expropriations. Cela ne rentre pas, forcément, en compte dans le coût mais le bruit des téléphériques sera, aussi, à prendre en compte. Des nuisances sonores, au-dessus ou à proximité d’habitations. Ce chantier peut faire s’envoler une partie du budget, des câbles plus silencieux existent mais ils sont logiquement plus chers.
De grosses difficultés d’insertion à Sainte-Foy
« L’étude avait révélé des contraintes d’insertions énormes, très importantes et très impactantes à Sainte-Foy, qui n’existent pas à Francheville et à la Mulatière, poursuit Mme Sarselli. Le comité de pilotage du 18 décembre 2020 dit la même chose. On nous annonce des pylônes de 50 mètres de haut, il y en a 42 de prévus sur la ligne de Gerland. L’emprise au sol d’une pylône est aussi proportionnelle à sa hauteur, c’est normal. J’ai plusieurs questions. Quid des expropriations ? Car on nous dit « on va essayer de passer sur du public », mais ce n’est pas vrai, on va aussi passer sur du privé. Quid des servitudes de survol ? Quid de l’insertion paysagère ? On s’est battus à Sainte-Foy pour avoir un PLU (plan local urbanisme) protecteur. On a des espaces verts sanctuarisés, on a du patrimoine historique, on a un périmètre Architectes des Bâtiments de France (ABF) très large à Sainte-Foy, on a limités nos hauteurs à 3 étages au PLU… Dans le périmètre ABF, on refuse beaucoup de choses aux habitants. Comment vous pensez que vont réagir nos habitants ? Alors à ce stade, je suis très réservée. Ce qui m’inquiète, c’est le caractère définitif d’une décision. On précipite un projet. La moindre des choses, ça aurait été une réunion publique avec les personnes concernées non ? ».
A Francheville, moins de problèmes d’insertion. « Plus de la moitié du territoire de Francheville n’est pas constructible, il est en zone naturelle. Pas de problème pour faire passer le téléphérique », explique le maire de Francheville, Michel Rantonnet. Avant d’affirmer : « la population est unanime sur le téléphérique ».
Ce n’est pas le cas à Sainte-Foy. « Les écologistes en ont parlé aux deux élections précédentes à Sainte-Foy, en 2008 et en 2014, on ne peut pas dire qu’il y ait eu un engouement extraordinaire des Fidésiens », note la conseillère municipale d’opposition à Sainte-Foy, Ghyslaine Torres (LREM).
Des recours et de longues procédures à prévoir ?
« Sainte-Foy, c’est très étendu, beaucoup d’habitants continueront de prendre le bus. Le seul problème sur le transport par bus, c’est la fréquence. Je ne vois pas ce que ça va résoudre (le téléphérique). Ca va améliorer la vie de quelques personnes qui habitent près de la station. Ca ne va pas résoudre le problème des mobilités sur Sainte-Foy.J’ai regardé l’histoire dans les villes des télécabines, elles étaient essentiellement à destination touristique ou pour passer des bras de mer.(Tiens donc !). Il y a un problème de flux avec le nombre de points de ralliement sans point relais », précise Mme Torres. Avant d’ajouter : « Ca sera douloureux et long. Il va y avoir des procédures et ça va durer des années ».
Même favorable au projet, Michel Rantonnet en est conscient : « L’avantage du téléphérique, c’est aussi le coût. Et la durée. Vous pouvez le réaliser dans le mandat sans les recours ».
Un désenclavement de l’ouest lyonnais, vraiment ?
Mais est-ce que ce projet va vraiment désenclaver l’ouest ? Ancienne président du Sytral, Fouziya Bouzerda ne le pense pas : « Le téléphérique, ça n’a jamais été pensé comme une alternative au métro. Les lignes de câble et de métro n’ont rien à voir. Le Métro E jusqu’à Part-Dieu, on était jusqu’à 150 000 voyages/jour. 150 000… par rapport à 4 000 pour le téléphérique. Quand on parle des investissements, on les met en rapport. Sur ce mandat (car le métro c’est sur plusieurs mandats), le coût du métro E aurait avoisiné les 500M d’euros si on avait commencé à creuser avec le tunnelier. Bon, 210M d’euros (pour le téléphérique) pour 4000 voyageurs par jour, avec ceux qu’on est censé desservir qui seront les plus impactés, est-ce vraiment la bonne solution ? Si vous ne lancez rien sur ce mandat-là, vous prenez un retard considérable pour l’avenir. La responsabilité des élus, ce n’est pas uniquement de faire les choses qu’ils vont voir eux lors de leur mandat, c’est aussi de lancer ce qu’il va se poursuivre au long cours. C’est une fausse vision de considérer que le métro E était uniquement un métro pour Tassin. C’était un métro pour tout le grand ouest avec du rabattement. Le Sytral, c’est penser dans sa globalité, pas faire des petits tronçons en disant « super, nous on est novateurs, on fait une télécabine ». Je trouve ça dommage de ne faire de la politique que lors de son mandat, ce n’est pas ça l’outil Sytral ».
« Il faut se battre sur tous les fronts, poursuit Michel Rantonnet. Pour le métro E aussi. Avec le téléphérique, on va cerner une partie de Francheville. Mais on se bat aussi pour le métro E à Alaï, pour tous les gens qui descendent de Tassin, de Craponne, et qui convergent vers Alaï. Le métro, c’est beaucoup de voyageurs, il faut aussi le faire ».
Les élus locaux plébiscitent également un autre moyen de transport, le tram-train. « C’est le projet prioritaire sur l’ouest, explique Mme Torres. Les lignes existent déjà. Métropole et région, il faut qu’ils se mettent d’accord. Le réseau existe ». « Une bonne solution aussi » pour Véronique Sarselli. Et pour Michel Rantonnet, qui demande au président de la région, Laurent Wauquiez, et à celui de la Métropole, Bruno Bernard, d’avancer ensemble sur ce projet.
D’ici-là, les Fidésiens attendent des réponses. « Je n’ai pas de réponse sur une analyse efficacité/coût du télécabine, efficacité dans le sens désenclaver/améliorer et le coût qui est proposé. Je n’ai pas de réponse. On va nous dire un métro ça coûte beaucoup plus cher mais on ne peut pas comparer un métro en terme de rapidité, de transport lourd… Je suis d’autant plus réservée », conclut la maire de Sainte-Foy-lès-Lyon. Un nouveau comité de pilotage est prévu en avril 2021 avant le lancement d’une phase de pré-concertation. Le débat autour du téléphérique dans la Métropole de Lyon ne fait que commencer…
Téléphérique du Port
Construit à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1929, le téléphérique traverse le Port de Barcelone depuis la Tour de Saint-Sébastien sur la Plage de la Barceloneta, jusqu’au Belvédère Miramar sur la colline de Montjuïc.
Au cours de la Guerre Civile les câbles ont été retirés et les tours ont été utilisées pour la défense du port. En 1963, le téléphérique a recommencé à fonctionner sans arrêt jusqu’en 1995, année durant laquelle il a été fermé pour sa rénovation. Aujourd’hui, le téléphérique fait profiter à ses voyageurs de ses agréables promenades avec vue sur tout Barcelone.
Le parcours total mesure 1 292 mètres de long et se situe à 70 mètres de haut. Durant les 10 minutes de trajet, on obtient de très belles vues sur le port et la ville. Il s’agit d’un réel élément touristique à Barcelone.
Prix
Le prix d’un seul trajet est de 8,40 € tandis que l’aller-retour coûte 11,43 €. Pour les enfants, les trajets entre 4 et 12 ans coûtent 6,60 € (trajet simplr) ou 8,28 € (aller retour).
Horaires
Du 1er janvier jusqu’au 28 février : de 11h00 à 17h30.
Du 1er mars au 31 mai : De 10h30 à 19h00.
Du 6 juin au 1er juin : de 10h30 à 20h00.
Du 11 septembre au 29 octobre : de 11h00 à 19h00.
Du 30 octobre au 31 décembre : de 11h00 à 17h30.
Comment se rendre au Téléphérique du Port
Torre Sant Sebastià : Métro : Barceloneta, ligne 4. Bus : lignes 17, 39, 45, 64, 57, 59 et 157.
Torre Jaume I : Accès temporairement fermé.
Miramar : Bus : lignes 50, 100 et 193.
Téléphérique de Montjuïc
Inauguré en 1970 pour répondre aux besoins en transports jusqu’à la partie haute de la Montagne de Montjuïc, le Téléphérique de Montjuïc s’élève au-dessus d’une pente de 100 mètres de dénivelé pour arriver jusqu’au Château de Montjuïc.
Même si l’on profite d’une très belle vue au cours du trajet, du haut de la colline il est possible de contempler des vues toutes aussi splendides et il existe des manières plus économiques d’y monter.
Prix
Le prix d’un aller simple est de 6,80 € tandis que l’aller-retour coûte 9,60 €. L’aller simple pour les enfants âgés entre 4 et 12 ans vaut 5,20 € tandis que l’aller-retour coûte 7 €.
Horaires
De janvier à février : de 10h00 à 18h00.
De mars à mai : de 10h00 à 19h00.
De juin à septembre : de 10h00 à 21h00.
Octobre : de 10h00 à 19h00.
De novembre à décembre : de 10h00 à 18h00.
Comment se rendre au Téléphérique de Montjuïc
Métro : Paral•lel, lignes 2 et 3 + Funiculaire de Montjuïc.
Bus touristique : Station Telefèric de Montjuïc.
Bus: Parc de Montjuïc, lignes 50 et 55.
Téléphérique Battistini - Casalotti
Caractéristiques du projet
Le système de téléphérique relie le terminus de la ligne A du métro Battistini au quartier Casalotti sur un parcours de 3,85 km avec 7 stations (deux terminaux et cinq stations intermédiaires):
• Battistini
• Acquafredda
• Montespaccato
• Torrevecchia
• Campus
• Collina delle Muse / GRA
• Casalotti / GRA
Le projet envisage, dans une première phase, la construction d'un système de «câble suspendu» entre la station de métro du terminal A, Battistini, et le quartier Casalotti avec le franchissement du Grande Raccordo Anulare. Le projet actuel comprend la construction de terminaux, de stations intermédiaires, d'un bâtiment de dérivation et l'installation des pylônes de support de la ligne aérienne avec le câble correspondant. Dans la gare de Torrevecchia, située approximativement au milieu de la route, un entrepôt / abri pour les cabines a été émis l'hypothèse.
Le système de téléphérique adopté pour le projet est celui de la "télécabine débrayable", c'est-à-dire un système mono-câble aérien à mouvement continu qui libère la cabine du câble de transport lors du franchissement des stations, pour permettre le passage sur les quais à vitesse réduite, facilitant ainsi l'embarquement et le débarquement des passagers. L'équipement sera dimensionné pour transporter jusqu'à 3 600 passagers / h dans chaque sens de déplacement.
En termes de fréquence, les cabines entreront dans la station toutes les 10 secondes pendant les heures de pointe. Le temps de trajet pour tout l'itinéraire sera de 17 minutes et 34 secondes. Les cabines pourront accueillir 10 personnes, avec deux rangées de 5 sièges face à face, et les sièges seront individuels et relevables pour accueillir des fauteuils roulants, des vélos ou des poussettes. Environ 200 cabines de 10 places chacune seront utilisées pour satisfaire la demande de transport.
41 pylônes d'une hauteur comprise entre 15 et 36 mètres, avec les chemins de roues seront installés le long du tracé pour supporter le câble. Ils seront construits en acier galvanisé et montés sur une base cylindrique en béton armé d'environ 1,5 / 2 m de haut avec un rayon de 0,7 / 0,9 m, tandis que les fondations seront construites sur place sur pieux.
Valeur estimée de l'investissement : 109,6 millions.
Et si on doit planter 42 pylônes, mieux vaut peut être éviter le geste architectural tarabiscoté pour chacun ?
Tarabiscoté : Fais pas semblant de ne pas comprendre. On partait des deux pylônes du téléphérique du Port de Barcelone - qui sont tarabiscotés. Planter 42 fois dans le paysage des machins s'en inspirant, avec un chouia de différence dans le dessin à chaque fois pour encaisser plus de pépettes, ça peut très bien donner un résultat bien plus moche que des tubes cylindriques standards.
BBArchi a écrit :Et pourquoi 42 ? Une nostalgie du Disque Monde ?
Timeas a écrit :... Plus étonnant il semble y avoir une légère préférence du téléphérique sur le métro...
alecjcclyon a écrit :Voici une alternative au transport par cable !
C19E. Francheville Bourg-Debourg
Francheville Bourg
Francheville Gare 2 min
Francheville Taffignon 3 min
La Gravière 5 min
Plan du Loup 8 min
Mairie de Sainte Foy 10 min
Le Roule 15 min
Halle Tony Garnier T1/T10 22 min / Hôtel de Région Montrochet T1/T2 22 min
Debourg Métro B/T1/T6 25 min
A noter que les bus 14 et 17 desserviraient toujours la gare d'Oullins
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