jeromebu a écrit :Et en plus, les billets de trains de dernière minute (le mardi) ne sont plus en vente...
amaury a écrit :...Si on pense que c'est du service public, on a plusieurs solutions : appliquer une tarification "sociale" partout, appliquer une tarification commerciale par-dessus laquelle on greffe une tarification sociale ou appliquer sur certains secteurs une tarification sociale et sur d'autres une tarification commerciale. ...
chris a écrit :Je trouve que le système ne marchait pas trop mal jusqu'à présent : un tarif blanc pour ceux qui veulent à tout prix voyager dans un train précis très demandé, un tarif bleu pour ceux qui acceptent de voyager aux heures qui arrangent la SNCF
chris a écrit :Autre question : pourquoi imposer une réservation sur les TGV ?
"[url a écrit :http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/social/[/url]"]social, adjectif
Féminin ale. Pluriel aux.
Sens 1 Qui concerne la vie en société [Politique]. Ex Ordre social, milieu social. Anglais social
Sens 2 Qui vit en société [Sociologie]. Ex Groupe social, individus sociaux. Synonyme sociable Anglais social
Sens 3 Qui a pour objectif l'amélioration des conditions de vie des défavorisés [Politique]. Ex Service social. Anglais social
Sens 4 Relatif au monde du travail et aux rapports entre les différentes classes d'une société. Ex Conflit social. Anglais social
[align=center]SNCF : les gares de Lyon Part-Dieu et Lyon Perrache désormais privées d'iDTGV[/align]
L'annonce, faite à la fin du mois d'octobre, prend effet ce dimanche.
Les deux gares du centre-ville de Lyon ne disposent donc plus de liaisons TGV vers Paris à prix "discount". La filiale de la SNCF a décidé de réserver ses tarifs attractifs (à partir de 19 euros le billet) aux seules lignes nécessitant au moins trois heures de trajet minimum. Pour i DTGV, il s'agit d'un repositionnement qui a pour objectif de mettre en place dans les trains des animations plus réalisables sur les longs trajets. Lyon devient donc uniquement une gare de desserte. L'aller-retour quotidien entre Paris et Lyon Part-Dieu, comme entre Paris et Lyon-Perrache, sera donc supprimé. Les voyageurs devront se contenter d'un aller-retour le samedi et le dimanche, au départ de la gare TGV de Saint-Exupéry, desservie par la ligne Paris - Grenoble. Il sera donc nécessaire d'utiliser la navette Rhônexpress qui coûte 23 euros l'aller-retour, soit payer un péage autoroutier, puis le prix d'une place de stationnement.
[align=center]Les deux vitesses du TGV à bas coût[/align]
Louer une tablette, se faire servir à sa place… Avec sa nouvelle offre, ID-TGV se démarque des futurs trains low-cost de la SNCF.
Depuis décembre, les ID-TGV ne desservent plus Lyon intra-muros, mais Lyon/Saint-Exupéry et Grenoble.
À en croire Paul Sessego, patron d’ID-TGV, filiale de la SNCF qui vend des billets à petits prix uniquement sur internet, « 2012 a été une très bonne année ». L’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 220 millions d’euros et a transporté 4,2 millions de passagers, soit une hausse de % par rapport à 2011. Le PDG se targue même d’un de taux de remplissage « proche de 90% » – soit mieux que les avions à bas coût, selon lui. « Notre mission, c’est de faire revenir le plus de gens possible au train », assure le patron d’ID-TGV.
Un argumentaire, que les passagers à destination de Lyon ou de Strasbourg auront du mal à avaler. Les ID-TGV ne desservent plus ces deux villes depuis décembre dernier. Une conséquence du « repositionnement stratégique » de l’entreprise sur les trajets de plus de trois heures. Mais sans doute aussi la difficulté à développer une pléiade de services sur des trajets considérés comme courts.
Des services « premium »
Alors que la SNCF doit lancer début avril son offre low-cost baptisée « Ouigo » entre la région parisienne, Lyon (sans doute depuis la gare de Saint-Exupéry), Marseille et Montpellier, dont les sièges par trois ne sont pas sans rappeler les classes économiques des compagnies aériennes, ID-TGV s’efforce de proposer des services pour marquer sa différence avec les futurs TGV à bas prix.
À bord des trains, le service de restauration a été revu (on pourra commander son sandwich par SMS et se le faire livrer à sa place – même en seconde classe – par exemple). Exit les lecteurs de DVD, dépassés. Les passagers peuvent désormais louer une tablette numérique – « DigiTab » – pour la durée du trajet avec une sélection de films, musique, émissions radio ou télé, magazines et jeux. ID-TGV entend aussi développer les trajets « de porte à porte » avec un seul billet, qui comprend le service de voiture avec chauffeur au départ (uniquement en région parisienne) et le transfert en bus jusqu’aux stations de ski des Alpes (en partenariat avec Transaltitude), ou en bateau jusqu’en Corse (en partenariat avec la SNCM).
Des prix bas, mais opaques
Côté prix, le tarif le plus bas reste à 19€, a indiqué Paul Sessego, tout en refusant d’indiquer combien de places ID-TGV proposait à ce prix. Parallèlement à ce positionnement, les associations d’usagers comme la Fnaut, qui milite pour une offre TGV low-cost « étendue à l’ensemble des lignes à grande vitesse », s’inquiètent de voir des dessertes en bus remplacer les dessertes ferroviaires.
Depuis fin janvier, ID-Bus, filiale de la SNCF qui exploite des bus sur des trajets longue distance en Europe, propose cinq allers-retours quotidiens entre Paris et Lyon. La desserte de Strasbourg ne serait pas encore à l’ordre du jour.
Gare de Lyon, le 23 octobre, les agents SNCF chargés d'effectuer l’embarquement du TGV pour Béziers, étaient équipés de lunettes connectées : les Google Glass...
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