Boblyon a écrit :Comme partout à l'étranger, il n'y a qu'en France qu'on a rajouté des T truc, C bidule, Liane machin etc
euh... et pourtant en Allemagne on trouve un peu de tout et encore plus dans le ferroviaire: S, RE, RB, R, U et plus exotiques comme A... (plus tous les services récents des nouveaux entrants) mais aussi pour les bus ou evt. tram N, NE, CE (cityexpress), SB (schnellbus), X (express) ou E (Eilbus), M (Metrobus/Metrotram) sans oublier le fameux "TXL" berlinois qui joue les prolongations.
Bref, les services marketing sont un peu moins à chercher des noms qui ne veulent rien dire, mais pas sûr toutefois que cela aide beaucoup à mieux comprendre. En Angleterre on trouve des sérieux concurrents aux "inventeurs" français et Madrid a depuis quelques années deux lignes de bus C1 et C2 (circulaires au centre) à ne pas confondre avec les C3, C5, C7 et autres (cercanias ou RER)
De toute façon, plus la zone est grande, densément desservie et les systèmes de transports intégrés, plus la tentation est grande d'identifier des "produits" ou des "gammes de services". Le pur numérique a alors vite ses limites; genre c'est pas Nancy qui avait essayé de trouver une numérotation en XXX qui devait indiquer vers quel arrêt de ligne structurante la ligne considérée rabattait (à un arrêt de correspondance toutes les lignes en terminus sont p.ex. 131, 132, 133, 134 et à l'arrêt de correspondance suivant on a 141, 142 et 143. Pas de pot, 128 passait aussi par là et on n'allait quand même pas lui donner une double numérotation ou un truc du style 1(2/4)8).
Le tout ne serait-il pas dans la mesure et la clarté ?
a+