Département de la Loire : super-délégation pour les déplacements
Publié : 14 oct. 2009, 19:14
http://www.leprogres.fr/fr/region/la-lo ... ement.html
C'est une super-délégation qui chapote désormais les déplacements au sein du conseil général de la Loire : la délégation au Développement durable, issue de la fusion de 3 directions générales : les infrastructures, les transports et l'environnement. Avec une idée directrice : avoir une vision globale des déplacements sous toutes leurs formes.
Pour le conseil général, il s'agit bien d'intégrer les différents modes de déplacement à chaque fois que cela est possible, qu'il s'agisse des pistes cyclables, des transports en commun ou du covoiturage, tout en prenant en compte les problèmes de pollution.
Exemple concret : les eaux de ruissellement sont canalisées puis envoyées dans des bassins de rétention, avant d'être rejetées dans le milieu naturel : ce sont les travaux en cours actuellement en bordure du CD 100. On le voit là encore, les transports de matériaux sont limités au maximum en favorisant l'utilisation de terre disponible à proximité.
Mais c'est bien cette vision globale de transports que veut privilégier Jean-Paul Defaye, conseiller général en charge des infrastructures qui affirme «que l'on ne peut plus traiter individuellement des problèmes de congestion sur un axe routier. La route n'est plus la seule réponse à apporter.»
Le problème, c'est bien évidemment l'augmentation du trafic routier, de 2 à 3 % par an et jusqu'à 5 % dans certaines zones au Nord de Saint-Étienne par exemple. Comme le confirme Jacques Boudaud, qui dirige la délégation au développement durable, ce sont tous les modes de déplacement qui augmentent dans la Loire, que ce soit la voiture, le train ou les TIL, les transports interurbains de la Loire qui prend 10 000 voyages de plus chaque mois, à 2€ le trajet, quelle que soit la distance dans le département.
Désormais, le conseil général veut aller au-delà du tout voilure* avec cette super-délégation. Une démarche pointue qui va jusqu'à prendre en compte les populations à mobilité réduite, c'est-à-dire celles et ceux qui se déplacent à pied pour que l'espace public devienne agréable et accessible à tous. Une vraie révolution dans la façon de penser nos déplacements de demain.
*(ah la faute de frappe !
)
C'est une super-délégation qui chapote désormais les déplacements au sein du conseil général de la Loire : la délégation au Développement durable, issue de la fusion de 3 directions générales : les infrastructures, les transports et l'environnement. Avec une idée directrice : avoir une vision globale des déplacements sous toutes leurs formes.
Pour le conseil général, il s'agit bien d'intégrer les différents modes de déplacement à chaque fois que cela est possible, qu'il s'agisse des pistes cyclables, des transports en commun ou du covoiturage, tout en prenant en compte les problèmes de pollution.
Exemple concret : les eaux de ruissellement sont canalisées puis envoyées dans des bassins de rétention, avant d'être rejetées dans le milieu naturel : ce sont les travaux en cours actuellement en bordure du CD 100. On le voit là encore, les transports de matériaux sont limités au maximum en favorisant l'utilisation de terre disponible à proximité.
Mais c'est bien cette vision globale de transports que veut privilégier Jean-Paul Defaye, conseiller général en charge des infrastructures qui affirme «que l'on ne peut plus traiter individuellement des problèmes de congestion sur un axe routier. La route n'est plus la seule réponse à apporter.»
Le problème, c'est bien évidemment l'augmentation du trafic routier, de 2 à 3 % par an et jusqu'à 5 % dans certaines zones au Nord de Saint-Étienne par exemple. Comme le confirme Jacques Boudaud, qui dirige la délégation au développement durable, ce sont tous les modes de déplacement qui augmentent dans la Loire, que ce soit la voiture, le train ou les TIL, les transports interurbains de la Loire qui prend 10 000 voyages de plus chaque mois, à 2€ le trajet, quelle que soit la distance dans le département.
Désormais, le conseil général veut aller au-delà du tout voilure* avec cette super-délégation. Une démarche pointue qui va jusqu'à prendre en compte les populations à mobilité réduite, c'est-à-dire celles et ceux qui se déplacent à pied pour que l'espace public devienne agréable et accessible à tous. Une vraie révolution dans la façon de penser nos déplacements de demain.
*(ah la faute de frappe !
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