La voiture du funi Croix Paquet etait à Pontcharra sur Breda (Isère) sur le site de l'ancienne association CF touristique du Breda. C'est un dépot près de la gare. Existe t-elle encore.amaury a écrit :HS (partiellement) : Et quelqu'un sait ce qu'il est advenu de la voiture de la crémaillère Croix-Paquet - Croix-Rousse de 1890 qui devait partir à la ferraille ?
Le train touristique des Monts du Lyonnais sera heureux de vous accueillir
dans ses prochaines circulations de l'Arbresle à Sainte Foy l'Argentière
tous les dimanches du 14 août jusqu'au 18 septembre 2011 et le 15 août
pour une balade en famille près de Lyon.
Véhicule ferroviaire destiné à l’entretien des voies ferrées, la draisine appartient au patrimoine industriel. L’association du Chemin de fer touristique de la Brévenne, basée à Sainte-Foy-l’Argentière (Rhône), possède une draisine Billard n°B2, construite en 1958, qui nécessite d’importants travaux de restauration. L’association, qui fait appel aux dons, souhaite préserver la valeur patrimoniale de cette machine, en la gardant en état de marche. Elle utilise la draisine pour effectuer des trajets sur la ligne L’Arbresle - Sainte-Foy-l’Argentière, et permet ainsi aux passagers de plonger dans le monde du chemin de fer en étant aux côtés du mécanicien. Et enfin, elle effectue avec cette draisine, des travaux d’entretien de la ligne.
Ceux qui feront un don bénéficieront d’une réduction d’impôt, car cette souscription est soutenue par la Fondation du Patrimoine.
Pratique Renseignement au 04.74.70.90.64. http://train-touristique-monts-lyonnais.com
Source : https://www.leprogres.fr/transport/2023 ... e-inquietsPassage à niveau bitumé par la SNCF : les défenseurs de la ligne inquiets
Un coup d’arrêt mis au projet de prolongement de la ligne de train pour les voyageurs, ou simples travaux de restauration d’un ouvrage laissé à l’abandon ? Le Progrès a questionné SNCF Réseau sur les raisons ayant poussé le bitumage du passage à niveau de Saint-Cry.
Une ligne laissée à l’abandon et un bitumage qui aurait pu passer inaperçu sur le passage à niveau 21, à Bessenay. C’était sans compter sur le collectif Gardons la ligne, qui milite pour la sauvegarde de l’ouvrage et la prolongation de la circulation du tram train entre Sain-Bel et Sainte-Foy-l’Argentière. Ils défendent également le retour du fret jusqu’à la carrière de la Patte, à Saint-Laurent-de-Chamousset. (article intégral réservé aux abonnés)
Une ligne laissée à l’abandon et un bitumage qui aurait pu passer inaperçu sur le passage à niveau 21, à Bessenay. C’était sans compter sur le collectif Gardons la ligne, qui milite pour la sauvegarde de l’ouvrage et la prolongation de la circulation du tram train entre Sain-Bel et Sainte-Foy-l’Argentière. Ils défendent également le retour du fret jusqu’à la carrière de la Patte, à Saint-Laurent-de-Chamousset.
À la rentrée, ils ont observé que la ligne de chemin de fer jusqu’alors laissée à l’état sauvage depuis sa fermeture en 2019, avait été recouverte d’un enrobé fraîchement posé, à hauteur du camping de Saint-Cry, à Bessenay. Inquiets de ces travaux, ils ont adressé un courrier à Béatrice Leloup, directrice territoriale de SNCF Réseau, dénonçant une « contradiction avec les perspectives positives qui convergent au moins pour la circulation du tram train jusqu’à la gare de La Giraudière ».
« En aucun cas une suppression d’un passage à niveau »
Sollicitée, SNCF Réseau se veut rassurante : « Il ne s’agit en aucun cas d’une suppression d’un passage à niveau. » Et de rappeler que le processus de suppression est strictement encadré par la loi. « Il fait notamment l’objet d’une délibération en conseil municipal et d’une enquête publique au cours de laquelle quiconque peut faire valoir ses arguments. Ici, rien n’est envisagé pour l’heure et le passage à niveau a toujours une identité juridique. »
Mais, « sa vétusté ne permettait plus de garantir la sécurité des trains, malgré les travaux de maintenance réalisés jusqu’en décembre 2019 : des travaux de régénération intégrale sont désormais nécessaires. Ceux-ci ne sont à ce jour pas financés. Un tour de table financier a été engagé dès 2019 mais n’a pas encore abouti. »
Une solution intermédiaire retenue
Concrètement, « la dégradation des platelages, ainsi que les mouvements naturels du sol peuvent ponctuellement provoquer la dégradation des enrobés, créer des ornières ou modifier le profil de la chaussée au droit du passage à niveau. La réparation des enrobés ou des platelages à l’identique ne serait pas satisfaisante, car elle ne garantit pas un maintien en bon état sur la durée, quelques mois tout au plus. La réparation pérenne des platelages quant à elle, nécessite la réfection de la voie (rails et traverses) car ils constituent un ensemble homogène. » C’est cette réparation intégrale qui requiert des financements « que nous n’avons pas aujourd’hui ».
La solution intermédiaire qui a été retenue par SNCF Réseau « consiste à retirer les composants de la voie sur la largeur de la chaussée afin de créer une assise stable pour l’enrobé neuf, selon un profil le plus plat possible au bénéfice de la sécurité des usagers de la route ».
Des travaux de régénération intégrale sont désormais nécessaires. (...) Un tour de table financier a été engagé dès 2019 mais n’a pas encore abouti
SNCF Réseau
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